par Miss AF
Vendredi 30 septembre 2016
Dernière journée à Fakarava, dernière journée aux Tuamotu et
dernière journée en Polynésie française. Qui dit vol en avion, dit interdiction
de plonger : nous avons donc pris le bateau pour nous rendre sur le motu de
l’autre côté de la passe Sud, direction le site des Sables roses, et nous en
mettre plein la vue.

Petit jeu : devinez qui est la vraie Sablaise !
Ce devrait être facile pour tous les Ciaval’
Véritable carte postale, le lieu doit son nom aux petits bancs de
sable qui s’avancent dans le lagon. Ils sont composés de résidus des
concrétions coralliennes qui prennent des reflets légèrement rosés ou orangés
selon l’ensoleillement (ce site perd tout intérêt si le ciel est nuageux car
les couleurs disparaissent alors totalement). On se glisse avec délice dans ces
eaux d’un bleu cristallin, avec les cocotiers en arrière-plan, pour une
promenade loin de toute civilisation entre lagon et Pacifique.



Sauvage et isolé, les Sables roses ne sont accessibles que par la mer
(une heure et demie de trajet environ depuis le village de Rotoava au nord, mais
quelques minutes seulement depuis Tetamanu au sud). A part l’embarcation de la
pension, qui nous a déposés avec Julie, Anthony et Marlin le chien, nous
n’avons croisé qu’un seul bateau, baptisé Dragonfly (la libellule), dont le
propriétaire n’est autre que l’un des fondateurs de Google…. Mais chut :
l’équipage n’a pas le droit de donner de nom ! Avis aux amateurs, il le
loue 500 000 $ la journée ! Non, non, je n’ai pas fait d’erreur dans
le nombre de zéro 😉
Cet après-midi, une heure de bateau et quinze minutes de voiture pour
rejoindre l’aéroport de Fakarava (où nous avons retrouvé Géraldine et Guy), puis une heure et demie de vol pour nous
rendre à Papeete.

Guy et Géraldine
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