samedi 1 octobre 2016

Les Sablaises

par Miss AF
Vendredi 30 septembre 2016
 
Dernière journée à Fakarava, dernière journée aux Tuamotu et dernière journée en Polynésie française. Qui dit vol en avion, dit interdiction de plonger : nous avons donc pris le bateau pour nous rendre sur le motu de l’autre côté de la passe Sud, direction le site des Sables roses, et nous en mettre plein la vue.
 
Petit jeu : devinez qui est la vraie Sablaise !
Ce devrait être facile pour tous les Ciaval’
 
Véritable carte postale, le lieu doit son nom aux petits bancs de sable qui s’avancent dans le lagon. Ils sont composés de résidus des concrétions coralliennes qui prennent des reflets légèrement rosés ou orangés selon l’ensoleillement (ce site perd tout intérêt si le ciel est nuageux car les couleurs disparaissent alors totalement). On se glisse avec délice dans ces eaux d’un bleu cristallin, avec les cocotiers en arrière-plan, pour une promenade loin de toute civilisation entre lagon et Pacifique.
 
 
 

Sauvage et isolé, les Sables roses ne sont accessibles que par la mer (une heure et demie de trajet environ depuis le village de Rotoava au nord, mais quelques minutes seulement depuis Tetamanu au sud). A part l’embarcation de la pension, qui nous a déposés avec Julie, Anthony et Marlin le chien, nous n’avons croisé qu’un seul bateau, baptisé Dragonfly (la libellule), dont le propriétaire n’est autre que l’un des fondateurs de Google…. Mais chut : l’équipage n’a pas le droit de donner de nom ! Avis aux amateurs, il le loue 500 000 $ la journée ! Non, non, je n’ai pas fait d’erreur dans le nombre de zéro 😉


 
Cet après-midi, une heure de bateau et quinze minutes de voiture pour rejoindre l’aéroport de Fakarava (où nous avons retrouvé Géraldine et Guy), puis une heure et demie de vol pour nous rendre à Papeete. 
 
Guy et Géraldine

Demain matin, départ à 5h du matin de notre hôtel pour rallier notre prochaine destination : l’Australie.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire